Être aidant, ça s’apprend ! Et ça s’accepte parfois avec difficulté, ou ambivalence. Que l’on soit parent, enfant, conjoint.e, ami.e, il n’est jamais anodin de devenir l’aidant de son proche dépendant et cela impacte souvent non seulement le quotidien, mais aussi tous les liens et les projections d’avenir. Et si l’aidant était aussi l’aidé quelque part ? Difficile parfois de s’y retrouver tant les liens sont imbriqués.
Pouvoir partager cette expérience là, la transformer, et la rendre un peu plus légère, éviter l’isolement qu’il peut en découler, tels sont les objectifs des actions que nous menons envers tous les aidant.es, «aimant.es».